
AFFAIRE DES POISONS SOUS LOUIS XIV
ABRÉGÉ DE L'HISTOIRE ET DU PROCÈS DE MADAME LA MARQUISE DE BRINVILLIERS, exécutée à Paris en Grève le 18 juillet 1676 par arrêt du Parlement.
A Montauban, chez Samuel Dubois, imprimeur et libraire ordinaire du roi et de la ville. Jouxte la copie imprimée à Paris. 1676.
1 plaquette in-4 (25 x 19 cm) de 8 pages.
Cahier non relié, non cousu (feuillets pliés). Vignette gravée sur bois sur le titre.
ÉDITION PROVINCIALE RARISSIME DE L'HISTOIRE ABRÉGÉE DE CE FAMEUX PROCÈS.
Ce fragile document très bien conservé se divise comme suit : Page de titre avec verso blanc. Le texte de l'abrégé commence à la page 3 et se termine à la page 6 (soit 4 pages de texte), suit l'arrêt de la cour de 1 feuillet dont le verso est blanc (non paginé). Il a été écrit à l'époque à l'encre brune au verso du dernier feuillet : "Procès de la Brinvilliers".
Le marquis de Brinvilliers avait des habitudes de luxe et de dépenses ; il aimait le jeu, les plaisirs ; et son mariage fut loin de lui faire perdre ses habitudes joyeuses. En 1659, il se lia intimement avec un nommé Godin, dit Sainte-Croix, capitaine de cavalerie dans le régiment de Tracy, officier originaire de Montauban, qui se disait bâtard d'une bonne famille de Gascogne. Sainte-Croix était jeune et bien fait, « doué, dit un mémoire du temps, de tous les avantages de l'esprit et peut-être encore de ces qualités du cœur dont une femme manque rarement, à la longue, de subir l'empire ». extrait de La Revue hebdomadaire, 1897. Ce qui expliquerait cette impression de Montauban.
Localisation : Aucun exemplaire dans aucune des bibliothèques consultées.
Référence : Arlette Lebigre, 1679-1682, L'affaire des poisons. Frantz Funck-Brentano, Le drame des poisons études sur la société du XVII ̇siècle et plus particulièrement la cour de Louis XIV d'après les archives de la Bastille Marie-Madeleine de Brinvilliers Les sorcières La marquise de Montespan La chambre ardente La mort de "Madame" Racine et l'affaire des poisons La "devineresse, Hachette et cie, 1900. Edouard Forestié, Histoire de l'imprimerie et de la librairie à Montauban, 1898, p. 175 et suivantes (qui ne cite pas cette impression concernant le procès de la Brinvilliers).
BON EXEMPLAIRE DE CE PRÉCIEUX DOCUMENT HISTORIQUE, DONT IL NE DOIT SUBSISTER QUE QUELQUES RARES EXEMPLAIRES.
VENDU
ABRÉGÉ DE L'HISTOIRE ET DU PROCÈS DE MADAME LA MARQUISE DE BRINVILLIERS, exécutée à Paris en Grève le 18 juillet 1676 par arrêt du Parlement.
A Montauban, chez Samuel Dubois, imprimeur et libraire ordinaire du roi et de la ville. Jouxte la copie imprimée à Paris. 1676.
1 plaquette in-4 (25 x 19 cm) de 8 pages.
Cahier non relié, non cousu (feuillets pliés). Vignette gravée sur bois sur le titre.
ÉDITION PROVINCIALE RARISSIME DE L'HISTOIRE ABRÉGÉE DE CE FAMEUX PROCÈS.
Ce fragile document très bien conservé se divise comme suit : Page de titre avec verso blanc. Le texte de l'abrégé commence à la page 3 et se termine à la page 6 (soit 4 pages de texte), suit l'arrêt de la cour de 1 feuillet dont le verso est blanc (non paginé). Il a été écrit à l'époque à l'encre brune au verso du dernier feuillet : "Procès de la Brinvilliers".
Le marquis de Brinvilliers avait des habitudes de luxe et de dépenses ; il aimait le jeu, les plaisirs ; et son mariage fut loin de lui faire perdre ses habitudes joyeuses. En 1659, il se lia intimement avec un nommé Godin, dit Sainte-Croix, capitaine de cavalerie dans le régiment de Tracy, officier originaire de Montauban, qui se disait bâtard d'une bonne famille de Gascogne. Sainte-Croix était jeune et bien fait, « doué, dit un mémoire du temps, de tous les avantages de l'esprit et peut-être encore de ces qualités du cœur dont une femme manque rarement, à la longue, de subir l'empire ». extrait de La Revue hebdomadaire, 1897. Ce qui expliquerait cette impression de Montauban.
Localisation : Aucun exemplaire dans aucune des bibliothèques consultées.
Référence : Arlette Lebigre, 1679-1682, L'affaire des poisons. Frantz Funck-Brentano, Le drame des poisons études sur la société du XVII ̇siècle et plus particulièrement la cour de Louis XIV d'après les archives de la Bastille Marie-Madeleine de Brinvilliers Les sorcières La marquise de Montespan La chambre ardente La mort de "Madame" Racine et l'affaire des poisons La "devineresse, Hachette et cie, 1900. Edouard Forestié, Histoire de l'imprimerie et de la librairie à Montauban, 1898, p. 175 et suivantes (qui ne cite pas cette impression concernant le procès de la Brinvilliers).
BON EXEMPLAIRE DE CE PRÉCIEUX DOCUMENT HISTORIQUE, DONT IL NE DOIT SUBSISTER QUE QUELQUES RARES EXEMPLAIRES.
VENDU