Gottfried Wilhelm LEIBNIZ et Paul PELLISSON-FONTANIER.
DE LA TOLÉRANCE DES RELIGIONS, LETTRES DE M. LEIBNIZ, ET RÉPONSES DE M. PELLISSON.
A Paris, chez Jean Anisson, directeur de l'imprimerie royale, 1692.
1 volume in-12 (16,5 x 10 cm) de (8)-147-(2)-185 pages.
Reliure plein veau brun. Reliure de l'époque usagée aux coiffes et aux mors (mors partiellement fendus avec manque de cuir, coins émoussés, extrémité des coiffes usée). Intérieur frais. Complet.
ÉDITION EN GRANDE PARTIE ORIGINALE.
Bien qu'il s'agisse ici de la seule édition complète en volume, une partie des lettres de Leibniz sur ce sujet a déjà paru dans la quatrième partie des Réflexions de Pellisson en 1691, au format in-4 (22 pages), chez la veuve de Gabriel Martin avec privilège de M. Pirot de la Sorbonne (13 septembre 1691). On trouve ici en plus d'autres lettres de Leibniz, les réponses de Pelisson et d'importantes additions qui occupent plus de la moitié du volume.
Leibniz, protestant luthérien, immense savant, philosophe rationaliste, cherche ici un accord entre les grandes religions et entre les princes d’Europe. Leibniz cherche la conciliation avec l’Église romaine, alors que Bayle la combat inlassablement. Bayle, de son côté, défend la tolérance comme moyen pour réconcilier les diverses factions du royaume de France. On sent dans cet écrit de Leibniz toute l'influence que Pascal aura sur toute son œuvre philosophique et scientifique.
Paul Pellison nous dit Voltaire était « un poète médiocre, à la vérité, mais homme très savant et très éloquent. » Les protestants ont prétendu qu'il était mort avec indifférence ; les catholiques ont soutenu le contraire, et tous sont convenus qu'il mourut sans sacrements, le 7 février 1693.
BON EXEMPLAIRE DE CET IMPORTANT OUVRAGE DE LEIBNIZ.
VENDU
DE LA TOLÉRANCE DES RELIGIONS, LETTRES DE M. LEIBNIZ, ET RÉPONSES DE M. PELLISSON.
A Paris, chez Jean Anisson, directeur de l'imprimerie royale, 1692.
1 volume in-12 (16,5 x 10 cm) de (8)-147-(2)-185 pages.
Reliure plein veau brun. Reliure de l'époque usagée aux coiffes et aux mors (mors partiellement fendus avec manque de cuir, coins émoussés, extrémité des coiffes usée). Intérieur frais. Complet.
ÉDITION EN GRANDE PARTIE ORIGINALE.
Bien qu'il s'agisse ici de la seule édition complète en volume, une partie des lettres de Leibniz sur ce sujet a déjà paru dans la quatrième partie des Réflexions de Pellisson en 1691, au format in-4 (22 pages), chez la veuve de Gabriel Martin avec privilège de M. Pirot de la Sorbonne (13 septembre 1691). On trouve ici en plus d'autres lettres de Leibniz, les réponses de Pelisson et d'importantes additions qui occupent plus de la moitié du volume.
Leibniz, protestant luthérien, immense savant, philosophe rationaliste, cherche ici un accord entre les grandes religions et entre les princes d’Europe. Leibniz cherche la conciliation avec l’Église romaine, alors que Bayle la combat inlassablement. Bayle, de son côté, défend la tolérance comme moyen pour réconcilier les diverses factions du royaume de France. On sent dans cet écrit de Leibniz toute l'influence que Pascal aura sur toute son œuvre philosophique et scientifique.
Paul Pellison nous dit Voltaire était « un poète médiocre, à la vérité, mais homme très savant et très éloquent. » Les protestants ont prétendu qu'il était mort avec indifférence ; les catholiques ont soutenu le contraire, et tous sont convenus qu'il mourut sans sacrements, le 7 février 1693.
BON EXEMPLAIRE DE CET IMPORTANT OUVRAGE DE LEIBNIZ.
VENDU