PETRONE, Petronius Arbiter
LE SATYRICON, traduit du latin par M. Baillard. Pointes sèches originales de G. Barret.
Aux Editions du Baniyan, Paris, 1960
1 volume in-4 (29,5 x 23 cm), en feuilles, de 221-(1) pages. 15 pointes sèches originales par Gaston Barret. Emboîtage de l'éditeur (légèrement frotté). Le volume à l'état proche du neuf.
TIRAGE A 500 EXEMPLAIRES.
CELUI-CI, 1 DES 250 EXEMPLAIRES SUR PAPIER DE RIVES.
Le Satyricon (ou mieux, « les Satyrica » ; parfois : Satiricon) est un roman satirique écrit en latin attribué, avec polémique, à Pétrone. Le roman, considéré comme l'un des premiers de la littérature mondiale, mêle vers et prose, latin classique et vulgaire. Il est constitué par un récit-cadre (titré généralement les « Aventures d'Encolpe ») et trois récits enchâssés : L'Éphèbe de Pergame, La Matrone d'Éphèse et le Festin chez Trimalcion, autant d'intrigues à la vaste postérité littéraire. Le récit conte les aventures, dans une Rome décadente (très certainement avant la fin du ier siècle) de deux jeunes gens, Encolpe et Ascylte, ainsi que du jeune amant du premier, l'adolescent Giton. Encolpe a été frappé d'impuissance par le dieu Priape alors que son ami et rival, Ascylte, convoite l'amour de Giton. Au cours de leurs pérégrinations, ils sont invités à un splendide festin organisé par un riche affranchi, Trimalcion, de chez qui ils parviennent à s'enfuir. Rejoints par le poète Eumolpe, ils embarquent et font naufrage, à la suite d'une tempête, près de Crotone. Encolpe fait ensuite la rencontre de Circé, une habitante de Crotone, mais, frappé de nouveau d'impuissance, il décide d'aller se faire soigner chez Œnothéa, prêtresse de Priape. (source : Wikipédia).
BELLE ILLUSTRATION ÉROTIQUE DE GASTON BARRET.
Prix : 450 euros